L’année qui vient de se terminer a compté toute une série de drames humains.

Ne serait-il pas utile de se demander pourquoi ?

Il y a un grand principe de Dieu, révélé dans sa Parole, la Bible : lorsque l’on n’écoute pas ce que Dieu dit dans sa Parole, dans sa bonté, Il parle in fine par les circonstances !

Que l’on parle de pandémie, de réchauffement climatique, de tornades, d’inondations tragiques, etc. … Dieu rappelle aux hommes, que, quoique nombreux à vouloir nier son existence, c’est Lui le Créateur et que « c’est de par Lui que ces choses ont eu lieu » ! 

La citation en tête « Souviens-toi de ton créateur … » rappelle d’abord qu’il y a bien un Dieu créateur qui a créé toutes choses, et aussi l’homme à qui il a donné une âme vivante, ce qui veut dire qu’elle ne peut être anéantie ! Si le corps peut être réduit en cendre, l’âme vivante ne meurt pas ! Elle est éternelle !

Il important de se poser les questions suivantes : où, dans quelle circonstance, en quelle compagnie, passeras-tu l’éternité ? Dieu répond à ces questions de manière très claire dans sa Parole (la Bible) :

  Soit dans la seconde mort ! C’est-à-dire mort quant à Dieu, mais bien vivant, loin de Dieu en compagnie de Satan et ses anges. C’est la sentence qui sera prononcée sur tout homme à cause des actes que Dieu appelle « péchés », des actes qui l’homme produit en s’opposant à la volonté de son Créateur !

   Soit dans la vie éternelle ! C’est le cas de tous ceux qui se sont vus dans leurs péchés, perdus, dans l’angoisse de devoir comparaître devant ce Juge, qui ne peut que prononcer la sentence de la seconde mort ! Mais Dieu s’est approché d’eux en leur montrant ce que Lui a fait en la personne de Jésus ! Et Il offre gratuitement la vie, la vie éternelle (en présence de Dieu et du Seigneur Jésus) à celui qui se reconnaît perdu et qui croit ce que Dieu dit de l’œuvre de la croix !

Le but de Dieu est que « tous les hommes soient sauvés » ! Sauvés de la seconde mort !

Les circonstances étant d’une telle importance, je ne formulerai pas de vœux sous la forme traditionnelle que l’on trouve sur les cartes vendues pour le changement d’année.

D’une manière générale, j’exprimerai mon souhait, pour que toi qui lis ces lignes et qui possèdes la vie divine et éternelle, tu puisses vivre des heures de bonheur dans la communion de ton Seigneur, traversant avec Lui les circonstances inévitablement difficiles, qui se présenteront au cours de cette nouvelle année ! Que suivant l’exemple des Thessaloniciens, qui s’étaient tournés des idoles vers Dieu, toi aussi, tu attendes des cieux son Fils, le Seigneur Jésus, que Dieu a ressuscité d’entre les morts, et qui nous délivre de la colère qui vient. (1 Thessaloniciens 1 v.9-10)

La plupart des lecteurs de ces pages ont été baptisés, et de ce fait professent être chrétiens et font partie de la « maison de Dieu », devenue une « grande maison », dans laquelle il y a des âmes qui sont nées de nouveau et d’autres qui ne le sont pas, c’est ce que souligne la parabole des dix vierges : les 5 sages représentent ceux qui, parmi les chrétiens, sont nés de nouveau, et les 5 folles, ceux qui ne le sont pas. Les 10 sont des chrétiens qui professent tous le christianisme.

M’inquiétant de ton avenir éternel, au cas où tu ne serais pas né de nouveau, ou tu aurais la fausse illusion de l’être, permets-moi de t’adresser ce message de vœux en montrant comment moi-même, ainsi que tous les authentiques chrétiens, j’ai pu recevoir de la main de Dieu cette vie divine et éternelle ! Si tu ne la possèdes pas, il veut te la donner, car Il dit dans Sa Parole : « … notre Dieu Sauveur … veut que tous les hommes soient sauvés … » (1 Timothée 2 v.3-4! Et si tu n’as pas la certitude de l’être, Dieu veut aussi te donner cette certitude, si tu es réellement né de nouveau.

   Dieu voulant que tous les hommes soient sauvés, il est donc évident que personne ne peut dire que c’est parce que Dieu ne l’avait pas élu, qu’il reste dubitatif quant à Dieu et à Sa Parole !

Dieu ne te demande rien, il veut tout te donner !

La vraie raison pour laquelle tu ne possèdes pas cette vie divine et éternelle, ce n’est pas que tu ne serais pas élu, c’est que tu résistes au travail du Saint Esprit ! Tu lui résistes, soit en partie, soit complètement !

Sans doute, connais-tu la parabole du Semeur (Matthieu 13 v.3-9 & 18-23), elle décrit, comment le Saint Esprit travaille pour que tu sois dans les conditions nécessaires et aussi suffisantes pour recevoir la Parole qui alors produira la vie divine et éternelle en toi, comme elle l’a fait pour tous les authentiques chrétiens depuis le jour de la Pentecôte (Actes des Apôtres chapitre 2) !

Le message de Dieu contenu dans la parabole du semeur

Voici en résumé le sens de cette parabole du semeur. Le semeur est la personne du Seigneur Jésus, manifestée au travers d’un de ses serviteurs. Le semeur rencontre des terrains de différentes natures. Ces terrains représentent l’état de ton cœur, il ne s’agit pas de tes émotions ou de tes affections, Dieu ne te demande pas d’avoir des émotions à son égard, il s’agit de ce qui se passe dans le secret le plus profond de toi-même, là où seul Dieu voit ! Le « laboureur » qui travaille cette terre qu’est ton cœur, c’est le Saint Esprit ! Les différentes qualités de terrains y sont décrites : très dur comme l’est cette terre, le long d’un chemin, endurcie par de nombreux passages de choses autres que la charrue du « Laboureur », les deux terrains suivants ont laissé passer la charrue jusqu’à un certain point, mais il y reste soit des pierres, soit les racines de ronces et d’épines, et le dernier terrain est celui où le « Laboureur » n’a rencontré aucun obstacle pour faire complètement son travail. Ainsi les différents états de terrains rencontrés, les différents états du secret le plus profond de l’homme, ne sont pas des états naturels du cœur, dont l’un serait meilleur que l’autre, mais l’état du cœur suite au passage de la charrue du laboureur, selon que ce cœur résiste ou pas au travail du « Laboureur » !

En quoi consiste le travail du « Laboureur », du Saint Esprit ?

Ce travail consiste à convaincre l’homme, dans la partie la plus profonde et secrète de lui-même, que dans l’état moral où il se trouve de manière naturelle, il n’a pas d’autre perspective que, non seulement de mourir physiquement, mais encore de connaître la seconde mort, suite au jugement qui sera prononcé, au grand trône blanc, lors de la résurrection des morts, car contrairement à ce que ton cœur naturel te dit peut-être encore maintenant, il y a bien une résurrection pour tous ! La seconde mort consiste à vivre loin de Dieu, en enfer avec le Diable et ses anges, dans l’éternel regret d’avoir résisté à Dieu, en la personne du Saint Esprit et voici ce passage de la Parole :

« … je vis un grand trône blanc, et celui qui était assis dessus, …

… je vis les morts, les grands et les petits, se tenant devant le trône ; et des livres furent ouverts ; et un autre livre fut ouvert qui est celui de la vie. Et les morts furent jugés d’après les choses qui étaient écrites dans les livres, selon leurs œuvres. Et la mer rendit les morts qui étaient en elle ; et la mort et le hadès rendirent les morts qui étaient en eux, et ils furent jugés chacun selon leurs œuvres. Et la mort et le hadès furent jetés dans l’étang de feu : c’est ici la seconde mort, l’étang de feu. Et si quelqu’un n’était pas trouvé écrit dans le livre de vie, il était jeté dans l’étang de feu» (Apocalypse 20 v.11-15)

Le bon terrain a les qualités requises pour que, lorsque le « Semeur » y dépose la « Semence », c’est-à-dire la Parole de Dieu, celle-ci produise alors la vie divine et éternelle !

La « vie » apparente produite dans les terrains 2 & 3 !

Dans le terrain resté rocailleux (2) et celui où les racines des ronces et des épines n’ont pas été ôtées (3), on voit un certain effet, une certaine influence de la Parole, mais cette vie apparente n’est pas celle que Dieu donne, elle n’est ni divine et éternelle.

C’est une « joie religieuse » que le cœur naturel religieux aime ! On chante un « Dieu d’amour », mais qui n’est pas connu dans sa sainteté, la conviction d’être éternellement perdu, comme trouvé dans la « bonne terre » est absente. C’est le cas du 2ème terrain.

Il en est de même pour le 3ème, il y a un attachement tel au monde, que ce qui ressemble à la vie, est rapidement étouffé dès que des racines produisent des tiges, elles étouffent cette apparence de vie (elle n’est ni éternelle, ni divine) !

Dans cet état, la finalité est la même que pour le 1er terrain.

Si tu es dans cet état, ne résiste plus au « labourage » du Saint Esprit, et comprend que la finalité est aussi cette seconde mort décrite en Apocalypse 20 !

L’angoisse du cœur devenu une bonne terre

L’âme qui ne résiste plus au « labourage » du Saint Esprit, devant cet avenir qu’est cette seconde mort, est alors dans une détresse extrême !

Le Saint Esprit lui montre que Dieu ne veut et ne peut rien recevoir d’elle ! Tout ce qu’elle peut faire, n’a aucune entrée auprès de Dieu !

Toutes les prières formulées avec les meilleures intentions, ne sont pas reçues de Dieu. Aucune apparente « confession », aucune apparente « repentance » qui n’est au fond qu’un simple regret de n’avoir mal fait, donc conduit à la seconde mort, tout en s’imaginant que l’on aurait pu éviter cette seconde mort, en faisant des choses pour plaire à Dieu. Ce qui est impossible à l’homme dans son état naturel !

Dieu ne te demande pas de te repentir, il sait que tu en es incapable, mais il va Lui-même te donner le moyen de le faire, car il doit y avoir repentance !

Tu voudrais aller à Dieu, mais ta conscience te montre que cela est impossible, et Dieu ne te laisse pas venir à lui dans cet état. Il agit envers toi comme il l’a fait envers Adam en Eden :

« … l’Éternel Dieu … chassa l’homme, et plaça à l’orient du jardin d’Éden les chérubins et la lame de l’épée qui tournait çà et là, pour garder le chemin de l’arbre de vie. » (Genèse 3 v.23-24)

Peut-être es-tu dans cette détresse ?

Alors ne résiste plus, n’essaie plus rien, car tu ne peux pas sortir de cette détresse ! Dieu Lui-même, voyant que la terre « labourée » par le Saint Esprit est une bonne terre, vient alors vers toi, ne te demandant rien, il te montre ce que Lui a fait en la Personne de Christ à la croix !

 

C’est Dieu qui vient vers toi en te faisant lire Jean 3 

 

« Jésus répondit et lui dit : En vérité, en vérité, je te dis : Si quelqu’un n’est né de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. Nicodème lui dit : Comment un homme peut-il naître quand il est vieux ? … Jésus répondit : En vérité, en vérité, je te dis : Si quelqu’un n’est né d’eau et de l’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair ; et ce qui est né de l’Esprit est esprit. … Il vous faut être nés de nouveau. …

comme Moïse éleva le serpent dans le désert, ainsi il faut que le fils de l’homme soit élevé, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. Car Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. … » (Jean 3 v.3-16)

Ainsi, Dieu vient Lui-même vers toi, et dans ce passage de Jean 3, Il te dit non pas ce que tu dois faire, mais ce que Lui a fait en la Personne du Seigneur Jésus : « … et comme Moïse éleva le serpent d’airain … » image de la nécessité que Jésus, « le Fils de l’homme soit élevé … », sur la croix, pour être abandonné de Dieu alors qu’Il portait tes péchés et entrait dans la mort à ta place !

Il n’y a donc aucune chose à faire, sinon CROIRE, avoir FOI en ce que Dieu dit et a fait !

Il veut donc te sauver, te donner la vie, et cela sans rien faire d’autre que de croire qu’Il a donné son Fils unique, pour te donner la vie divine et éternelle !

 

Comment cette vie se manifeste-t-elle ?

Comme un enfant qui vient de naître, s’il vit, doit respirer (car s’il ne respire pas, cela montre qu’il ne possède pas la vie). Il en va de même de celui qui vient de naître de nouveau, la vie divine en lui, se manifeste en tout premier lieu, sans quoi la vie n’est pas présente, par la repentance, et la repentance a pour objet la confession des péchés !

C’est ainsi que Dieu te donne le moyen de faire ce qu’il exige et ordonne à tous les hommes à savoir « qu’ils se repentent » (Actes 17 v.30) !

Lorsqu’il n’y a pas de repentance selon Dieu, c’est parce que l’âme se trouve dans l’état du terrain rocailleux ou contenant les racines des ronces et des épines. Il n’y a alors pas la vie, et sans la vie divine, il n’est pas possible de se repentir !

Peut-être n’as-tu pas la certitude d’être né de nouveau

Tu t’es laissé labourer par le Saint Esprit, et tu as réalisé ton état de perdition, comme décrit plus haut pour la « bonne terre », tu crois ce que Dieu dit en Jean 3, mais tu ne ressens pas que tu as cette vie, et tu entends de nombreux prédicateurs qui prêchent ces émotions ! Ces prédicateurs prêchent un évangile frelaté, un évangile qui a pour effet de laisser les âmes sur des terres rocailleuses ou contenant les racines de ronces et d’épines ! Les effets produits sont des grandes démonstrations extérieures impressionnantes pour les sens humains, soit la promesse de prospérité matérielle, comme « l’évangile de prospérité » ! Ce que Dieu a en horreur !

Mais le Seigneur Jésus te pose la question suivante : « Serait-ce insuffisant à tes yeux, ce que j’ai fait pour toi à la croix, que tu voudrais ressentir des choses en toi ? ». J’espère que tu diras avec moi : « non, Seigneur, je ne veux rien ressentir, je crois sans réserve que ce tu as fait pour moi, t’offrant toi-même à Dieu, est parfaitement suffisant ! Car c’est précisément à cause de ma recherche de ressentis, et pour m’en délivrer ainsi que du joug de bien d’autres asservissements de mon cœur naturel, que tu as accompli cette œuvre rédemptrice » !

 

Ne recherche plus ces ressentis, ce que ton « moi » produit, mais recherche la relation bénie, la communion avec le Seigneur Jésus et avec ton Père céleste, c’est en cela que tu trouveras le vrai bonheur ! Alors tu ne resteras pas insensible, mais cette sensibilité n’est pas l’objet du bonheur !

 

Le calendrier et l’horloge marque le temps qui s’écoule

Dieu a créé le temps, comme il a créé l’espace.

Si Dieu est infini et hors du temps, la sphère dans laquelle nous vivons en tant que créature, est limitée à la fois dans le temps et dans l’espace.

C’est l’esprit de l’homme qui veut s’imaginer, que l’espace est infini et que le temps n’a pas de commencement ni de fin. Et il s’efforce de le démontrer et de s’en convaincre et en convaincre les autres ! Mais un poisson dans un bocal, que peut-il savoir des océans ? L’homme refuse de croire à cette limite, parce qu’il sait que s’il y a une limite, il y a aussi un Dieu en dehors de cette limite, et que dans ce cas il devra comparaître devant ce grand trône blanc, pour alors connaître l’éternité, mais celle de la seconde mort !

La grâce de Dieu a aussi une limite, le temps presse, et bientôt, il sera trop tard pour quiconque aura su, ce que Dieu a fait en la personne du Seigneur Jésus et n’aura pas cru, ayant résisté au « labourage » du Saint Esprit !

Mes vœux pour toi qui lis ces lignes

Si tu n’étais pas né de nouveau, mes vœux pour toi, sont que tu cesses de résister au Saint Esprit, et réalisant ton état méritant la seconde mort, tu acceptes, en croyant simplement, ce que Dieu te donne, sans rien exiger de toi ! Et qu’ainsi les vœux que j’exprime à ceux qui possèdent cette vie divine et éternelle, soient aussi pour toi.

Cher ami, frère ou sœur en Christ, toi qui possèdes cette vie à la fois divine et éternelle, dont la sphère d’existence n’est plus la première création, mais la nouvelle, dont les fondements sont ceux posés par la croix, la mort et la résurrection du Seigneur Jésus, là où tout est de Dieu, je te souhaite de vivre des moments précieux de communion avec le Seigneur Jésus.

Tu te poses peut-être la question de savoir comment être en communion avec le Seigneur, car tu trouves en toi-même, ou dans ce qui t’entoure, de nombreux obstacles, que tu n’arrives pas à vaincre.

Le Seigneur Jésus en donne la réponse dans l’Evangile de Jean, où Il dit « Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang demeure en moi et moi en lui. » (Jean 6 v.56). As-tu remarqué que le Seigneur utilise la même expression que pour la nouvelle naissance, « Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle » (Jean 6 v.54) ? Cela veut dire que nous devons revenir constamment à l’endroit moral où nous avons reçu la vie divine, afin d’être en communion avec le Seigneur Jésus, et ainsi être gardés de tout ce que produit la chair en nous et de toute l’attractivité de ce qui nous entoure dans ce monde ! C’est donc en revenant à l’endroit moral où, lors de notre conversion, l’effet sur nous a été, que nous avons crucifié la chair : « … ceux qui sont du Christ ont crucifié la chair avec les passions et les convoitises. » (Galates 5 v.24). Il s’en suivra : « Si nous vivons par l’Esprit, marchons aussi par l’Esprit. » (Galates 5 v.25) ! Si « la chair » est la puissance du « vieil homme », « l’Esprit » est la puissance du « nouvel homme » !   

L’année qui vient juste de commencer, ne sera pas exempte de difficultés et d’épreuves, car ce monde moral dans lequel nous vivons corporellement restera ce qu’il est, le domaine de Satan ! Je ne souhaiterai pas que ces épreuves nous soient épargnées, mais plutôt de les traverser avec le Seigneur Jésus, comme Lui-même l’a réalisé en traversant cette terre ! Son bonheur résidait dans sa communion avec le Père, Il jouissait ainsi de la paix de Dieu, Sa paix ! Que notre vrai bonheur soit ainsi dans la jouissance de la paix de Dieu, qui était Sa paix : « … je vous donne ma paix » (Jean 14 v.27). Que Sa joie soit aussi accomplie en nous, comme le Seigneur le dit parlant de nous à son Père : « … afin qu’ils aient ma joie accomplie en eux-mêmes » (Jean 17 v.13). Cette paix et cette joie qui étaient siennes, ne dépendent en rien des difficultés rencontrées, aussi pénibles qu’elles puissent être, mais bien de notre communion avec Lui, car Jésus assis dans le ciel, dans son office de Grand Souverain Sacrificateur, nous invite à nous approcher « du trône de la grâce, afin que nous recevions miséricorde et que nous trouvions grâce pour avoir du secours au moment opportun » (Hébreux 4 v.16).

C’est ainsi que je t’exprime tous mes bons vœux en cette année qui vient de commencer encore dans un accent de grâce.

« … encore très-peu de temps, « et celui qui vient viendra, et il ne tardera pas. » (Hébreux 10 v.37)

« … Oui, je viens bientôt. — Amen ; viens, seigneur Jésus ! » (Apocalypse 22 v.20)

 

Bruxelles, 01/01/2022

Claude BEAUPORT

www.beauport.eu